La série consacrée à Monsieur Bernard TAPIE a déclenché de véritables passions.
Réussite pour certains, déception pour d’autres, l’interprétation réalisée par le réalisateur de cette série n’a manifestement pas été partagée par ses proches l’ayant jugée trop romancée.
Quelles peuvent être les conséquences juridiques d’une telle adaptation ?
Quels sont les recours possibles ouverts aux héritiers ou aux personnes ayant fait l’objet d’un traitement dans la série ?
Le seul fait d’indiquer en début de série que celle-ci « s’inspire librement de faits réels » peut-il suffire à écarter toute responsabilité en cas d’atteinte à un droit personnel ?
Quelle est la limite posée à la libre interprétation d’un réalisateur concernant le développement d’une oeuvre s’inspirant de la vie d’une personne célèbre ?
Retrouvez la réponse à ces questions dans l’interview consacrée :
1. Pour toutes les entreprises ne pouvant organiser le travail de leurs salariés autrement que
L’article 6-I-2 de la loi pour la confiance dans l’économie numérique (LCEN) du 21 juin 2004 d
Maître Jonathan Elkaim intervenait ce dimanche dans le cadre de la matinale de LCI, avec pour thèm
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